Informations communes pour OderneLe village d'Oderne - Un Odernien - Une Odernienne.

Le village d'Oderne.
Troisième communauté de l’île, à l’extrême nord de la Grande Vallée, Oderne possède environs
500 âmes. Bâtie aux flancs des
coteaux des collines Odernia, ce village
troglodyte est entouré d’une épaisse palissade. La plupart des habitations et aménagements du village sont creusés à travers la roche de la colline. De nombreux tunnels parcours Odernia et forment ainsi une véritable fourmilière géante. Oderne est d’ailleurs appelé très souvent ; la
Fourmilière.
Il y a environs 500 personnes qui vivent dans ce village. Certain sont des Oderniens nés sur l'île, alors que d'autre sont de nouveaux rescapés et des Isolés.
La communauté n'est dirigée par personne. S'entendant pacifiquement les uns avec les autres, et
dépourvu d'individualisme, la communauté d'Oderne se gère seule, sans aucun dirigeant. Chaque membres de la communauté sait de lui-même ce qu'il à a faire, et le fait sans qu'on ai à le lui demander. Si une grande décision doit être prise, les Oderniens élisent quelques porte-paroles de confiances le temps seulement d'un conseil.
La vie dans la communauté est très agréable et paisible. Calme et très porté sur la
philosophie, les Oderniens ne sont pas adepte des grands manifestations délirantes comme à Hanka. Les jours s'écoulent et se ressemble à Oderne, sans aucun problème majeur.
Privilégiant le groupe à l'individu, les Oderniens
mangent tous la même chose et partagent tout. La nourriture n'est
pas fort variée, mais pour les Oderniens ; il faut manger pour vivre, et non vivre pour manger. C'est pourquoi, manger est pour eux plus une
nécéssité, qu'une
envie. Il n'est également pas rare que pour faire plaisir à un seul membre de la communauté, le village tout entier mette la main à la pâte. Enfin, la vie à Oderne est très
orientalisante dans tous les aspects de la vie courante.
Style vestimentaire.
Il est évident que les habitants de l'île ne sont pas habillés à la dernière mode tout droit sortie de Milan. Mélangeant les époques et les styles en général, les Exilés sont aussi bien vêtus de vieux jeans que de longue robe d'époque transmissent d'Exilée en Exilée. Les Exilés peuvent aussi bien se vêtirent de vêtements fabriqués artisanalement que s’accoutrer de loques récupérées dans les valises s'échouant sur les plages de l'île. Peaux, fourrures, laines et textiles provenant du monde... le mauvais gout, les Exilés ne connaissent pas.A Oderne, la tenue la plus répandue est le
pantalon bouffant orientalisant serré aux chevilles pour les hommes, et le
sari pour les femmes. Les hommes portent tous généralement la barbe et un turban. Les femmes sont élégamment maquillées de khôl noir et leurs cheveux sont toujours longs et tressés avec minutie.
L’hygiène de vie.
Les Oderniens sont des gens d’une
grande propreté. Les sources souterraines qu’ils disposent leur servent de thermes où il y fait bon s’y prélasser.
Les Oderniens se lavent tous les jours en groupes et sans aucune fausse pudeur. Prendre des bains tous ensemble dans la pure innocence renforce leur lien sociaux.
Le Gouvernement d'Oderne.
Contrairement aux deux autres communautés, Oderne n’est dirigée par personne en particulier. S'entendant pacifiquement les uns avec les autres, et dépourvu d'individualisme, la communauté d'Oderne se gère seule, sans aucun dirigeant. Chaque membres de la communauté sait de lui-même ce qu'il à a faire, et le fait sans qu'on ait à le lui demander. Si une grande décision doit être prise, les Oderniens élisent quelques porte-paroles de confiances le temps seulement d'un conseil. Une fois celui-ci terminé, les élus ne tardent pas à redevenir de simples habitants de la communauté.
L'accès au village d'Oderne.
Il y a de
nombreux accès dissimulés un peu partout dans les collines d'Odernia menant au village, mais
seuls les Oderniens ont le talent qu'il faut pour les repérer. Il y a tellement de cavité creusé dans les collines qu'il est impossible pour les habitants étrangers à Oderne de s'y retrouver.
Certains s'y perdent et meurts de faim ou de soif. Mais, l'entrée principale d'Oderne se trouve à la surface, au pied de la colline, protégé par une palissade gardée. En cas d'attaque, l'entrée de la colline est bouchée par une énorme dalle de pierre déplassable que de l'intérieur.
La nourriture.
Pour les Oderniens,
manger n’est pas un plaisir mais une nécessité. Ils sont nombreux à penser que cela est une perte de temps incroyable. Les habitants d’Oderne mangent pour vivre, et non l’inverse.
Chaque jour, trois repas sont distribués au Rowentar. Tous mangent la même chose sans jamais se plaindre. La nourriture d’Oderne est peu variée mais cela ne les embête aucunement puisqu’ils ne sont pas sensé éprouver du plaisir à manger. Les Oderniens sont plus des éleveurs de bovins que de grands chasseurs.
Rare sont donc les chasseurs chez eux.
Les jetons.
Il n’y a pas d’argent, ni de bien privé à Oderne. La notion de propriété privée leur est totalement étrangère. Les Oderniens forment un
groupe uni, et tout ce qui est à l’un, appartient également à l’autre.
Polygamie.
La polygamie est
interdite à Oderne.
La prostitution.
La prostitution est
interdite à Oderne.
L’esclavagisme.
L’esclavagisme est interdit à Oderne. Si un esclave parvient au village d’Oderne, celui-ci est aussitôt affranchit et devient un habitant libre du village. Si le maître de l’esclave ou un marchant d’esclave venait à réclamer l’ancien esclave, les Oderniens seraient prêt à prendre les armes pour défendre leur nouveau résidant. C’est pour cette raison que, généralement, les marchands d’esclaves évitent soigneusement de réclamer aux Oderniens leurs bétails échappés.
Les petits plus d'Oderne.
En plus de l’Art de la discrétion offert par Tulan, les Oderniens possèdent un minerais très précieux ;
la pierre de kéline. Les Oderniens extraits de ces pierres la
kétine avec laquelle ils enduisent leurs armes, boucliers et autres ustensiles qu'ils veulent rendre résistant. La kétine une fois chauffée puis refroidie peut rend une arme de bois aussi solide que l’acier, ou un bol imbrisable. Certain enduise de kétine également des étoffes de cuir, etc.